Je n’avais pas vue depuis deux jours Jukka et je savais que son travail au Fangtasia était beaucoup important depuis qu’il y à ce genre de problème avec les personnes qui prennent sans demander une genre de permission pour pouvoir vendre illégalement du V aux humains de cette terre sans que les vampires ne puissent faire un certain profit . Je ne savais pas comment cette histoire allait se terminer comme j’essayais de trouver des gens qui en avaient consommés mais qui surtout n’avaient pas le droit alors en me concentrant , je ne trouvais hélas , pas de nouvelles pour aider mon mari dans sa recherche mais j’avoue me sentir en quelque sorte seule puisqu’il n’est plus aussi présent qu’il ne l’aurait été dans ces dernières années et j’avais bien envie qu’il me serre contre lui en me disant qu’il allait passer la nuit en ma compagnie mais jamais ça n’avais arriver et cela me manquait énormément . Voila que j’enfilais encore mon tablier après avoir attacher mes cheveux blonds en queue de cheval pour pouvoir commencer mon service et courir un peu partout mais cela m’intriguait qu’il n’y ait pas autant de monde que je voulais le démontrer surtout que ces soirs-ci , il y avait toujours le plein de gens mais je m’étais totalement trompée . Bref , tout en passant un bon deux heures avant de revenir au comptoir du bar pour parler avec une de mes amies , mon regard se tournait vers un étranger que j’avait déjà vue en compagnie de Jukka quelques fois mais je n’avais jamais eue la bonne idée de lui demander son nom puisqu’il ne cessait pas de me détailler du regard quand il venait à m’observer . Alors prenant mon calepin , je vint à m’approcher de lui tout en serrant aussi mon stylos dans ma main droite , je vint à m’approcher de ce dernier en sachant qu’il était un vampire mais moins vieux que mon mari . Je pose mon regard vers lui en faisant un petit sourire sur le coin de mes lèvres . « Bonsoir , que puis-je vous servir ? » dis-je poliment , Je n’allait quand même pas commencer à ne pas savoir vouvoyer quelqu’un qui est beaucoup plus âgé que moi . Non ça ne le faisait pas vraiment .

Encore une journée ennuyeuse, à regarder les mouches voler, à se demander pourquoi les mouches volent et pas nous. C'était ça mes journées en ce moment, métro boulot dodo. Ma vie de vampire était la plus ennuyeuse qui pouvait l'être. Dans le genre "premier du classement pour la catégorie buveur de sang" , c'était surement pas moi. Et pourtant, j'aurai pu l'être. Les visions du sang et de toutes autres choses dans ce genre là, j'étais envieux, mais je me retenais. Si seulement on pouvait vivre dans un monde où les vampires étaient plus communs que les humains. Mais ne rêvons pas trop. Il était enfin huit heure du soir, la nuit commençait à tomber. Je sortais enfin de chez moi, dans lequel j'avais passé toute ma journée à glander. Je vivais dans une petite maison, que j'avais réussi à payer avec mes économies. Une chambre, meublée que d'un lit et d'une commode, une salle de bain la plus minimes qu'il soit, et un salle de séjour, où je vis le plus souvent. M'enfin, je sortais enfin, la nuit tombait et je me sentais de plus en plus mieux. J'avais sur moi une pauvre chemise à carreaux rouges, avec laquelle je ressemblais à une nappe de pique-nique. J'avais pas de moyens de locomotions, que mes pieds. Je marchais d'un pas, fainéant, vers le centre de Lafayette, j'avais envie de bouger ce soir, peut-être faire de nouvelles rencontres. Les rencontres, c'est cela qui me manquais. Les mains dans les poches, j'arrivais sur la place du " village " .. Quelques personnes étaient là, le peu de magasins qu'il y avait fermaient, et moi, j'étais planté là, comme un piquet, en train de réfléchir à ce que j'allais faire. J'avais déjà pensé à aller boire un coup au café/restaurant, le seul du coin et par chance, il était à peu prêt bon, et le service était plutôt rapide. J'avançais vers le café, on voyait par la vitrine que le café était presque vide, à part quelques habitués, dirais-je. J'attrapais la poignée du restau' et avec la chance que j'avais, je tirais la porte au lieu de la poussée. La soirée allait être belle. Je m'asseyais à une table, prêt du bar. Un rire m'interpellait, je tournais mon regard et je vis une jeune femme, une belle jeune femme. Les yeux rivés sur elle, jusqu'à temps qu'elle se rende compte que je la regardais. Je vis mes joues rougir dans le reflet de la vitre et me contrôlais le plus vite, avant qu'elle n'arrive. J'entendais ses pas claquer contre le sol, au rythme d'une cloche d'église. Je levais mon menton de la table, et voyait la serveuse. « Bonsoir , que puis-je vous servir ? ». J'avais même pas eu le temps de prendre ma commande, j'avais plus d'appétit. J'ai dû prendre quelques minutes avant de répondre. « Bonsoir, vous avez du s.. de la bière plutôt? ». J'avais aussi pris le temps de scruter le visage de la jeune serveuse. Un visage angélique, dirais-je ...