Carlotta Eléanor O'connor-

Invité

••• O' c o n n o r . C a r l o t t a . E l e a n o r .

AVEC. Z o o e y D e s c h a n e l

Carlotta Eléanor O'connor- Img-215543tpfuc

A g e; 22 ans
N a t i o n a l i t é ; Française, Américaine.
O r i g i n e ; Italienne; Américaine.
M e t i e r ; Chirurgien
S i t u a t i o n . F a m i l i a l e ; Célibataire.
G r o u p e ;Survivant; Cannibal je pourrais mettre aussi.

M o n. C a r a c t è r e - R.P.G

Carlotta a toujours été la petite fillette que tout le monde apprécie. Serviable, elle venait m’aider à me porter les courses quand elle en avait l’occasion. Petite elle me faisait des dessins, qu’elle glissait dans ma boite aux lettre. Elle est devenue la grande femme parfait sans presque aucun défauts, bien sûr elle a fait sa vie, et elle est partit a l’autre bouts du monde, mais je ne lui en veux pas. Ce n’est pas comme si elle allait porter mes sacs de course toute sa vie.

E T . L E . R E S T E .

P s e u d o ; E p i c e a (c)
A g e ; 14 ans
V e g e t a r i e n . Ca r n i v o r e ; Uh, Omnivore c'est bon ? (aa)
S a l a d e . O u . T o m a t e ; Une bonne tomate.
L è c h e . O u . C a l i n ; Calin
Q u a n d . t u . s e r a s. g r a n d . t u . s e r a s ? ; Grande =)
T ' e s . p l u t o t . u n e . f i l l e . o u . u n . g a r ç o n ? ; Hermaphrodite, sisi je vous assure (aa)
T u. f u m e s ; Nop, Pas bien de fumer.
T u. b o i s ; Non plus.
U n . d e r n i e r . m o t ? ; BOUUUHHH
C o d e. r e g l e m e n t ; Bravo le veau

Invité

M o n. H i s t o i r e - R.P.G

Contrairement a ce qu’on peut penser, ma vie n’a pas été un long fleuve tranquille comme je l’aurai décidée. Non, elle a été très cruelle au bouts d’un moments. Elle n’a jamais voulu de moi, je crois. Moi qui pensais être l’ange tombé du ciel. A présents je me demande si cette affirmation est réelle ou si ce n’est qu’une stupide phrase qu’on a pu me raconter en mensonge pour me cacher ou me préserver de la réalité. Je suis née en France, fin octobre. Dans la noblesse française, ou tous ce sait mais tous ce cache. Je ne suis pas née d’un long mariage amoureux, non. Tous le contraire, ma mère avait été une femme forcée à épouser un crétin de la haute bourgeoisie, et celui-ci était réputé pour être violents, immature et égoïste. D’une froideur extrême comme je n’ai jamais rencontrée, même les cannibales ont un peu plus de cœur. Rien que d’y repenser, j’en ai le mal de ventre. Il ne m’a jamais adressée le moindre geste affectifs qu’un père fait. Il n’a fait que critiquer mon éducations alors qu’il n’a rien fait pour, et que j’étais bien plus respectueuse que lui. Je n’ai toujours pas compris pourquoi mère n’était pas partit vivre ailleurs que sous son toit, quitte a être pauvre, c’était mieux. Je ne pouvais plus le supporter, il avait pourri ma vie alors que je ne faisais que le bonheur de tous autour de moi. Il essayait de m’écraser comme sur un jeu d’échec, mais le mien était bien plus stratégique. J’étais devenue la protégée de tous ses amis, il ne pouvait pas me toucher. Je compris très vite que mon don à être maligne venait de lui, mais bien plus forte que lui je le détruisais a chaque fois. Il s’en prenait a ma mère et ma sœur, et quand j’intervenais il ne montrer plus les crocs, mais sortait les griffes afin de pouvoir m’anéantir. Mon père a été le pire monstre que j’ai connu. Il nous a détruis, réduit en miette, mais sa ne m’a pas empêcher de faire de même. Pour lui j’étais l’enfant du diable, en prenant du recule, il avait peut être raison. Après tous, je me nourrissais de sang, bien que les aliments me fussent importants. Ou non, je n’étais pas ce qu’il prétendait. J’étais moi, Carlotta Eleanor O’connor, fille d’un célèbre bourgeois violents n’ayant pas bonne augure, fille d’une mère adorable, femme d’une brute. Forcée à me résoudre a cette vie, je ne fis tous de même pas ce qu’on me disait de faire, ou que quand sa venait de mon entourage qui le méritait. Je me souviens encore la façons dont il me traiter.

Carlotta ! Carlotta ! L’enfant du diable !

A qui le dis-tu !

Ose encore me parler comme sa, et crois moi que tu souffriras

Comme si ce n’était pas pire souffrance d’être avec toi.

Crois tu que c’est mieux de courir les rues sans argent et toit, satisfait toi de sa. C’est déjà assez suffisant.

Je n’ai pas besoin de ton sale argent. Garde le pour toi, vieil égoïste. Que veux-tu ?

J’ai besoin que tu m’apporte mon dîner

Les servantes que tu payes ne sont pas fait pour sa ?

Bien sur que si !

Oh, parce que pour toi je suis ton esclave ?

Bien sûr.

J’avais certaine tendance meurtrière, en même temps comment pouvez vivre avec un homme pareil ? Personne, même pas le diable en personne. J’essayais de vivre positivement, l’évitant le plus possible, il faut dire que nous ne le voyons que le soir, a son coucher que tous le monde devait assister tels un roi, tels Louis XIV. Je ne peux me résoudre à vivre cette vie, et même si personne appart ma mère et ma sœur comprenez pourquoi je devais partir, avec eux ou sans eux, je devais le faire. Accord ou pas. Je devais vivre ma destinée. Sauf que celle-ci me fit plus rester que partir. Une romance entre moi et l’unes de ses démoniaques créatures avait réussit naître. Il s’appelait Thomas, juste Thomas. Il avait réussit à m’envouter, me manipuler, me charmer. Moi qui pourtant n’était pas naïve, il avait réussit, je ne sais trop comment. Cette histoire d’amour durant presque 4 ans, il ne me toucha pas, mais ses yeux me désirait trop, il avait cette envie tuer, de me manger. Il ne pouvait pas le faire, pour lui j’étais plus qu’un bout de viande tendre qui sentait bon, il s’était imprégner de moi, j’étais la femme de sa vie, et c’était l’homme de ma vie. Je n’ai su que plus tard comment il arrivait à ne pas se laisser tenter. Il m’avait fuit, et parfois je suis dans mon sommeil, ou dans mes moments seule assise sur mon lit et je me remémore ces beau moments, ensemble.

N’aie pas peur de moi, je ne te ferais aucun mal

Je n’aie pas peur de toi, loin de là

Alors pourquoi cette air si apeurée ?

J’ai juste peur de te perdre, et même si tu sois différent, je m’afficherais toujours à ton bras, même quand tous le monde sauront ta nature. Ne sois pas si inquiet, crois moi.

Je t’aime.

A jamais.

Je renchérissais toujours de cette fameuse phrase, car oui mon amour pour lui sera à tous jamais. Sauf qu’un jour, il ne pu se contenir, et sauta sur moi dans mon sommeil. Je me réveillais, et me débâtit, j’étais certes plus faible que lui, mais j’étais bien plus intelligente, et je lui fis comprendre, qu’ensuite il ne me reverrait plus si il faisait sa. Je m’en suis plutôt bien sortit, je n’ai qu’une vulgaire cicatrice a la cuisse droite, sauf que lui, il ne se pardonna pas de m’avoir attaquée, il s’éloigna, s’enfuira de moi. Partit ailleurs, à l’autre bouts de la terre.

- [...] Crois moi Carlotta c’est la meilleur chose à faire, là tu seras sereine, et en vie. N’oublie pas que je t’aime, et t’aimerais pour le reste de ma vie, tu es ma promise, et même si je ne désire ne pas t’avoir comme épouse physiquement, contre ma volonté. Je reste prés de toi, dans ton cœur. Un jour je reviendrais, et ce jour ma vie sera redevenue normale, et je serais à toi pour l’éternité. Je t’aime, Thomas.

Cette lettre m’avait brisée le cœur, elle m’avait détruit. Et cette année fut ma renaissance, pour la première fois, curieuse de savoir pourquoi Thomas était si attirée par le sang, je le gouttai. Au départ, ce n’était rien, juste un gout simple et puis c’est devenue une habitude. Mon premier meurtre avait été soigneusement préparée, je voulais simplement voir l’effets que sa faisait, le lendemain je regrettais amèrement d’avoir enlevé la vie a quelqu’un. Je mettais résigner à ne manger et boire que le sang et les organes de l’institut. Le reste de mes besoins cannibalisme se trouverait dans la forêt. Mon arrivée a Knoxville se fit bien plus tard, quand j’avais réalisée que le sang m’étais devenue une drogue, et que le meurtre ce n’était pas sa. Je voulais être un peu la sauveuse d’humains contre les méchants, c'est-à-dire, nous. J’étais fermement décidée à mes vingt uns ans à être celle que je suis maintenant. J’ai cachée à ma mère et ma sœur ma vraie nature, et j’ai protestée un internat de chirurgie à l’étranger pour y aller. Welcome Knoxville.